Pour Casali, l’histoire est au fond l’étude des disciplines. Considérée par lui comme l’une des plus importantes sciences, il s’engagera pour sa vulgarisation. L’homme prône une tout autre lecture de l’histoire. Il ne manque pas non plus de critiquer fortement le contenu des programmes scolaires concernant l’enseignement de l’histoire de la France. Avec des manuels a contre-courant comme l’histoire de France interdite, le Nouveau Manuel d’histoire, la longue montée de l’ignorance, Casali expose plus clairement l'idée selon laquelle une histoire sans date, sans fierté et sans grands hommes ne vaut d'être enseignée.